Une brève présentation des artistes talentueux
qui ont collaboré et exposé à EXIB jusqu’à présent.
Découvrez nos artistes
Des phrases drôles, jeux de mots ou clins d’oeils cyniques.
Unisexe et quelques pièces enfant.
La démarche artistique est ensuite appuyée et enrichie par les voyages que je vis, mes ami.e.s, mes amours, mes emmerdes...
C’est à l’adolescence que je prends véritablement conscience de mon « béguin » pour l’Art et particulièrement l’art pictural. Je me tourne instinctivement vers le dessin, la peinture et l’écriture de poème. J’y vois alors une forme de liberté d’expression infinie et exaltante.
Mon imagination s’éveille et grandit à travers le figuratif et l’abstrait. Ce sont des artistes comme Picasso, Miro, Matisse, Buffet ou encore Basquia qui m’ont d’abord inspirés.
Mon travail artistique se développe autour des engagements sociaux et/ou moraux que suggèrent mes créations et mes textes. Ainsi, au-delà de l'esthétisme recherché, j'aime mettre en avant des problématiques sociales, culturelles ou encore relationnelles.
Profondément bohème, c’est l’insatiable et palpitante quête de
Liberté.s, qui anime ma vie, mon quotidien, mon art.
Pâtissière passionnée et décalée, j'ai créé Du biscuit... à la cuillère, il y a 6 ans, après l’obtention d’un CAP Pâtisserie, pour vous proposer une offre originale et personnelle. Amoureuse de la culture, de l’art et de la gastronomie française, mais aussi anglo-saxonne, je m'inspire des classiques, les désucre, les allège, les détourne avec un seul objectif : mettre en valeur les goûts et les produits. Je ne travaille que des produits de saison, au maximum bio, locaux et court-circuit.
Mon univers est composé de petits personnages qui m'accompagnent depuis un moment maintenant. Au travers des petits "coolosse", des petits êtres non genrés, démunis d'étiquettes. Je veux raconter ma propre expérience de la vie et l'équilibre que je souhaite y créer. Les illu à la cool c'est une bulle de calme et de bienveillance envers les autres et moi-même où je peux créer sans me soucier des problématiques auxquelles je peux être confrontée tous les jours.
Bien plus qu'une simple marque de bijoux fantaisie, c'est une véritable célébration de l'esthétique mystique. Laurane, une créatrice lyonnaise dont on adore le travail, donne vie à des créations uniques en utilisant le plexi, entièrement conçues à Lyon.
Mon travail s'intéresse principalement à la représentation des corps et de leur diversité en dehors de la pression des normes sociales. Je cherche par exemple à représenter le plus fidèlement possible la diversité des seins sur des objets utilitaires simples et épurés.
Toutes nos créations sont réalisées, concotées, élaborées à partir d'ingrédients biologiques.
Nous affichons avec fierté la mention Nature et Progrès.
L'obtention de cette mention récompense l'engagement de la savonnerie dans le respect de l'environnement et des activités locales.
Pas de stress ni de paillettes, une savonnière qui a fait le choix de fabriquer des produits simples et naturels.
Chaque bougie, fondant ou suspension sont fabriqués avec amour et respect dans mon atelier près Châtillon-sur-Chalaronne.
Toutes les matières premières que j’utilise sont testées, validées et mes fournisseurs sont sélectionnés selon un cahier des charges éthique afin de vous certifier la perfection.
Simplicité, écoresponsabilité et qualité sont les fondements de mes produits parfumés !
J'ai fait des études d'art et j'ai vécu un peu partout avant de me poser pendant 10 ans à paris ou je faisais de la photo parallèlement à la création de bijoux. Je crée des bijoux en cuir depuis 2016 et aujourd'hui je me consacre à 100% à ma marque chenoah studio, je vends sur mon site, sur des marchés de créateurices et dans les boutiques un peu partout en France.
Elle imagine les pots de fleurs comme des gardiens, les oyas comme des nourrices, les petites sculptures comme des talismans, utilitaires ou décoratifs, des objets singuliers rassurants, porteurs de sens et de joie !
« Mon approche artistique repose sur l'ekphrasis détourné, une pratique littéraire qui s’empare des mots pour donner vie aux œuvres. Dans mon travail photographique, je fais usage de ce procédé pour transcender la réalité et créer une poésie visuelle. Mes images ne sont pas uniquement des représentations de la réalité, mais plutôt une interprétation onirique de celle-ci.
Je veux que les éléments s’entrelacent, interagissent et s'opposent les uns aux autres ; qu’ils créent des dissonances et des contrastes pour finalement former une harmonie cohérente ; une histoire complexe et riche qui peut être interprétée comme une fugue.
Le tout serait la fugue et le contrepoint son outil : la rencontre d'éléments distincts et indépendants des uns des autres mais qui sont en réalité étroitement liés. »
Artiste pluridisciplinaire basé à Lyon, et en résidence à Superposition, je m’inspire des différentes cultures du monde et de mon territoire auquel je reste très attaché pour sortir un travail coloré. Avec le blaze de M.Morice, on est un peu plus dans le vrai, dans la contemplation aussi ! Ça fait battre le coeur, ça pique.
Je suis créatrice et designeuse de tapis tuftés à la main.
*Mais c’est quoi le tufting ?
Une technique de tissage artisanale qui consiste à insérer la laine sur une toile tendue à l’aide d’une machine à tufter. Cette méthode permet de réaliser des tapis tout douillets, de jouer avec les textures, les couleurs et les formes.
Je suis passionnée par les couleurs, l’architecture, la nature et les années 1980.
J’ai toujours un oeil qui traine et à l’affût de nouvelles choses à explorer.
J’ai effectué mes études dans le web et le marketing et il y a maintenant 1 an j’ai décidé de me lancer dans la grande aventure de l’entrepreunariat à temps plein !
J’ai toujours cherché une manière de m’exprimer que ce soit dans le sport, dans la musique ou bien dans la peinture.
Etant très curieuse j’ai pu explorer de nombreux domaines dans chacune de ces activités.
Le travail de la ligne est central dans la création de Fouch. Son tracé voluptueux laisse la part belle à l’élan, au mouvement, il vient habiller le vide, faisant naitre un portrait, une silhouette, tout en lui laissant de la place.
Au collège il planifie ses études: "je vais commencer par le maniement des quatre éléments. Ensuite, il faut que j’apprenne la théorie et la pratique des arts plastiques.
Et enfin je dois voyager pour découvrir les pratiques et techniques artistiques des autres continents. "
Danaël suivit donc le chemin qu’il avait choisi. Il commença par un CAP en ferronnerie d’art pour le feu, suivi d’un CAP d’ébénisterie d’art pour l’eau, ensuite un CAP de souffleur de verre pour l’air. Puis il passa une année à Limoges pour apprendre la céramique et la porcelaine pour la terre.
Il fut admis aux Beaux Arts d’Aix en Provence où il passa cinq années dans l’atelier Mécatronique à apprendre la mécanique, la robotique et la programmation.
En essayant de mêler savoir artisanal et nouvelle technologie, il écrit un mémoire sur les questions d’effondrement et de changement climatique.
A sa sortie d’école fin 2019, il commence une résidence à l'Observatoire de Haute Provence à laquelle la crise du covid met fin, ainsi qu’au projet de voyages sur d’autres continents pour le moment.
Il vit et travaille dans son atelier à Lyon, où il continue ses recherches sur ses inventions : son instrument de musique le "Chefe" qui reprend les gestes du chef Kebabier, ainsi que des simulateurs d’extérieur pour plante en pot.
Ses recherches s’orientent vers le Low Tech, la mécanisation de la nature, le virtuel et le réel, le geste ainsi que l’ombre et la lumière. La nature et la technologie semblent être les principaux thèmes de ses créations.
Ne sachant pas ce qu’il recherche, il continue sa quête, voyageant dans les eaux troubles de l’imaginaire.
Fasciné depuis toujours par la puissance évocatrice de la mort, il fait de l'esthétique macabre son terrain de jeu avec une patte unique : le « pop macabre ».
Son univers, fait de planches anatomiques revisitées et de vanités colorées, nous invite à voir la mort différemment. Avec Fouapa, la mort n’est plus sombre et triste mais joyeuse, absurde et magnétique.
Fouapa déploie depuis fin 2020 sur les murs de Lyon après plusieurs expositions à Paris et dans sa région, ainsi que de nombreuses collaborations avec des marques comme Citadium, Playstation ou encore Nike.
Ingénieur et architecte de formation, il se lance en 2018 dans la création artistique.
Très influencé par les peintres modernes du XXe siècle ainsi que le surréalisme et le street art, Bleg est partisan du laisser aller dans son travail. Il se lance sur ses supports sans aucuns croquis ou esquisses, découvrant les créations à mesures qu’elles se tracent.
Littéralement obsédé par la ligne, et le dessin automatique, il s’est forgé un univers très graphique et symbolique en travaillant sur la représentation simplifiée de personnage entre l’humain et le monstre. A force de simplification, ses créations se retrouvent parfois aux frontières de l’abstraction, laissant libre court à l’interprétation du public sur les histoires racontées par ses lignes.
Née en 1979 à Strasbourg, elle vit et travaille à Lyon.
A la frontière de l'art et du design, Elpom capte l'instant présent dans ses objets.
Ingénieure devenue artiste, elle oscille entre une approche scientifique d'expérimentation et un lâcher-prise avec la matière.
Le dialogue de ses mains avec l'argile est guidé par la volonté de raconter une histoire. Elle prend forme et s'étoffe au fil des pièces d'un même corpus. Des vases, des coupes, des tableaux céramiques, des volumes, des contenants. Des pièces organiques qui donnent une forme physique à un cheminement intérieur et à une sérénité retrouvée.
Les histoires d'Elpom nous touchent par leur sensibilité et leur universalité. Elles nous parlent d’éprouver sa résilience, de retourner à la conscience de la nature et de la matière.
Après une longue expatriation en Allemagne, Virginie Pommel installe en 2020 à Lyon son atelier de céramique Elpom Ceramics Studio, lieu de partage, de transmission et de création autour de la matière argile.
Elle participe aux expositions internationales 1000VASES, dédiées à l’objet vase, en 2020 à Paris à la Galerie Joseph et en 2021 à Milan, pendant la Milan Design Week.
Atelier Elpom Ceramics | 25 rue Pasteur, Lyon 7
Pauline Remillieux (Beware)
Née en France en 1956 elle est passée brièvement aux Beaux-Arts et à l'université Lyon III avant d’expérimenter de nombreux petits boulots (bergère, camioneuse). Elle a ensuite vécu et travaillé en Egypte, Mexique et Chine avant de s’installer à New York. Ses découpes sont réalisées en tyvek, papier, verre ou métal du petit au monumental.
Par le découpage le dessin se libère de son support et peut devenir fenêtre, donnant un choix: regarder la surface, ou par les trous un ailleurs. Le jeu des ombres, et le fait de lire soit les pleins soit les vides présentent des mondes miniatures comme autant de métaphores de notre perception de la réalité. L’histoire elle même est laissée à l’imagination de chacun.
Ses oeuvres sont collectionnées dans de nombreuses collections et lieux publics dont le Metropolitan Museum à New York, Le Getty à Los Angeles, et le Walker à Minneapolis.
Regardez son histoire aux multiple facettes sur http://www.ted.com/talks/beatrice_coron_stories_cut_from_paper
Reçue aux Beaux Arts de Rouen, elle étend sa pratique aux textiles, à la sculpture (terre et autres matieriaux) et commence en parallèle la création de ses premiers tableaux vivants. Chez Mara, l’art permet la création d’un objet, qui s’inscrit dans des ritualisations et devient proprement magique, capable de sortir le spectateur du temps et de l’espace.
En parallèle de ses études aux Beaux Arts, elle devient assistante d’une artiste dans un atelier à Paris. Elle complète lors de ces années son apprentissage technique, apprend la couleur, l’acidité du papier, la trame, le fond ou encore le moulage.
En résidence à Shanghai, elle s'associe avec Tina Schwizgebel. Elles cherchent ensemble à créer des propositions où il est impossible de distinguer la créatrice… Leurs fresques, dessins, textiles, tatouages à quatre mains questionnent les points de vues et deviennent des œuvres métisses.
Ses masques sont présentés dans le n°53 du Self Service Magazine.
Aujourd’hui, les travaux de Mara sont visibles en Suisse (Fesse Festival), à Lyon (Exib), sur son site web et Instagram (liens ci-dessous).
Alfredo's work has been published in various magazines : Le Monde d'Hermès, Vogue Paris, W Magazine, the New York Times Style, Another Magazine, Holiday...
Alfredo instinctively captures the most expressive moments, as his curious eye sees a parallel atmosphere of our daily life.
His complete freedom without any judgement provokes pureness : every instant becomes an intriguing document of our surrounding.
Magazines:
Acne Magazine, AnOther Magazine, Arena Homme +, Air France Magazine, Holiday, Le Monde, Le Monde d'Hermès, Muse, The New York Times Style, T Magazine, V Man, Vogue Japan, Vogue Paris, W Magazine
Clients:
AMI Paris, A.P.C., Bottega Veneta, Chanel, Dior, Fenty, Hermès, Jacquemus, Loro Piana, MSGM, Nike, Revlon, SportMax, Uniqlo, Yves Saint Laurent
Je change donc d’orientation et m’inscris en master classe à l'École LENÔTRE en 2008.
Ma formation terminée, je commence à travailler à La Table de Joël Robuchon, spécialisé en desserts à l’assiette. Les trois années de travail sur les desserts m’ont donné envie de me perfectionner au sein de deux autres grandes maisons.
En 2015, la galerie Rue Française me propose d’ouvrir mon salon de thé éphémère dans son espace, accédant ainsi à mon désir de travailler en free-lance et me permettant d’approfondir ma dimension artistique. À cette époque, je distribue des caramels aux gens qui passent à la galerie d’où mon surnom : “Monsieur Caramel”
En janvier 2017, j’ouvre ma première boutique et salon de thé au 79, rue Duhesme dans un quartier de Montmartre où règne encore une vie de quartier, ce qui est aujourd’hui rare.
Dans un bar de mon dorénavant quartier, je suis tombé sur une phrase qui est devenu ma philosophie. Elle a été écrite par un agent de voyage de Montmartre dans les années 70 – un homme apparemment extraordinaire."
« Dans cette guerre économique le plus fort n’est pratiquement jamais le meilleur, mais le plus habile ou le moins scrupuleux, il ne nous reste qu’un luxe et c’est celui des relations humaines –Simon-»